En se renseignant, on apprend qu'un journaliste nommé [[pnj:elias|Jackson Elias]] a enquêté sur l'expédition qui nous intéresse tous. Son contact est le professeur [[investigator:irving|Irving Murray]] et est à New York pour le moment. Il dort dans un hôtel et non sur un bureau d'uni. Il nous invite tous à son hôtel pour savoir pourquoi on s'intéresse tant à cette expédition.
[[investigator:adolf|Adolf]] avait ouvert une clinique avec un collègue qui a depuis disparu.
[[pnj:elias|Jackson Elias]] appelle le professeur Murray au téléphone ; il a semblé assez paniqué et lui a demandé de venir au plus vite dans sa chambre à l'hôtel [[place:chelsea|Chelsea]]. C'est la nuit, il neige beaucoup. [[investigator:angus|Angus]] observe l'hôtel pour découvrir qu'il est désert, mis à part le réceptionniste (alors que c'est un grand hôtel). Le réceptionniste s'appelle W. Bard et a l'air discret.
On frappe à la porte mais ça ne répond pas. Angus crochette la porte. Dans la chambre, un grand type maigre (adepte de la nicotine) qui n'est pas Elias, nous regarde, outré. Sur un meuble près de l'entrée il y a une grande coiffe africaine. On entend un bruit métallique à l'arrière de la chambre. Le mec nous vide mais Angus se dirige vers la fenêtre pour voir qui descend l'escalier d'urgence et Irving aussi. Le type tente de les en empêcher, sans succès. Adolf observe la coiffe et pose des questions.
Dans la chambre, du sang partout, un corps sur le lit et un gros Black avec une machette qui regarde son pote descendre avant de le suivre dans l'escalier de secours. Mais il tombe quand Angus secoue l'escalier, le faisant s'effondrer.
Pendant ce temps, [[investigator:georges|Georges]] tente de maîtriser le gars de l'entrée mais il se fait prendre en otage. [[investigator:arthur|Arthur]] se retrouve dans la cour de l'immeuble en face de deux gros Blacks avec des coiffes ridicules. Il tente de les intimider avec son flingue quand Angus hurle que c'est un meurtrier. Le gros Black ne le comprend pas et lui court dessus avec une machette.
Georges est toujours en otage mais Adolf réussit à calmer le type et il se dégage tout en le jettant à terre. Avec une certaine détermination qui nous étonne, le type se relève et Adolf lui tire dessus en pleine tête. Parallèlement, Arthur tire dans le dos du gros Black. Avec les coups de feu, la police ne tardera pas à arriver. Arthur fouille le corps et trouve une boîte d'allumettes.
Adolf fouille le cadavre du nicotinomane, sans rien trouver. Il entre dans la pièce pour trouver le lit en face de la fenêtre avec le cadavre d'Elias dessus. Angus fouille les affaires d'Elias mais quelqu'un est passé avant lui. Il trouve un simple mot d'Enesson Import.
Arthur fouille le corps de l'autre Black pour trouver [[doc:lettrefaraz|une lettre de Faraz Najir]] du 3.1.19 à un monsieur Carlyle, parlant d'artefacts de sa culture (égyptien ? Il habite au Caire) ainsi qu'une carte de visite.
Adolf trouve un livre sur la guerre entre science et religion dans lequel se trouve [[doc:prospectus|un prospectus pour une conférence sur le culte de l'occulte en Polynésie et dans le Pacifique]]. Georges trouve une [[doc:lettreatwright|lettre sans enveloppe de la bibliothécaire de Harvard]] (Myriam Atwhite) qui s'excuse que le livre qu'il recherchait ne soit plus en leur possession.
La police arrive, entretemps. C'est le lieutenant [[pnj:martin|Martin Poole]] qui mène l'enquête. Georges et Adolf témoignent pour la mort du premier gars. Angus lui explique la raison de leur visite et la suite des événements. Poole semble reconnaître le [[doc:marqueelias|signe sur le front d'Elias]], c'est la 8ème fois en 2 ans, oeuvre d'un meurtrier nommé Scariface. Il prend la déposition, nos noms et nous chasse.
On décide de se rendre chez [[place:emmerson|Emmerson Import]]. Arthur nous suit discrètement. C'est désert, Angus décide de rentrer par effraction dans les entrepôts. Arthur nous met en joue et nous somme d'arrêter. Nous nous confrontons et se présentons mutuellement avant de rentrer. Arthur ouvre une caisse en provenance du Caire, pleine de babioles en toc pour boutiques de souvenirs. On monte à l'étage, découvrons 3 pièces en enfilade. Magazines sur le droit maritime, journaux récents dans la salle d'attente. Puis le secrétariat, ainsi qu'un bureau. Dans le bureau, Arthur semble obsédé par les tableaux, Angus trouve les registres et vérifie si quelque chose d'inhabituel avait pris place ces deux derniers jours. il y a beaucoup de clients africains et égyptiens. Les recherches ne sont pas extrêmement fructueuses. Aucun nom connu ne figure dans l'agenda. Il y a cependant un livre d'Elias dans le bureau et le nom de l'éditeur est entouré : [[pnj:jonah|Jonah Kensington]], [[place:prospero|Prespero Press]] (c'est "Les fils de la mort" écrit en 1918 et il semble neuf). Sur le calepin d'Emmerson, le dernier nom est [[pnj:vanarvelde|Van Arvelde]].
Une fois hors de l'entrepôt, Angus appelle son cousin John, journaliste, pour lui demander des infos sur les meurtres avec la marque sur le front. Puis tout le monde va se coucher.
A l'aube, Angus va voir Emmerson. Elias recherchait des gens qui faisaient des échanges avec Mombasa au Kenya, mais il n'en sait pas plus. Arthur passe la matinée au téléphone sans apprendre grand chose, avec Faraz Najir. Adolf appelle son ancien asile pour avoir des infos sur leurs coiffes, ainsi que sur le professeur donnant la conférence de Polynésie. Irving fait des recherches au sujet du symbole sur le front d'Elias. Puis on se retrouve pour échanger nos informations. Le signe appartient à une tribu de l'ancienne Egypte, qui avait été bannie.
Angus va voir la police, le reste va voir [[pnj:anthony|Anthony Cowles]] et sa fille [[pnj:ewa|Ewa]] (c'est le conférencier). Le meurtre d'Elias a été également reporté par la presse durant la nuit. Il nous explique le lien entre la chauve-souris des sables et Cthulhu. Catulu chez les Romains, Kutulu en Chine, l'entité semble traverser les pays et les époques. Il nous montre des pierres sculptées, mais personne n'en connaît les auteurs. Il pense que ce sont des créatures qui habitaient en Australie et qui ont été chassées par les humains, permettant au père des chauve-souris de s'y installer. Les aborigènes vénéraient le père des chauve-souris en sacrifiant des humains avec des sacs pleins de dents de chauve-souris, le but étant d'appeler ledit père pour qu'il prenne le contrôle de la Terre.
Il pense retourner en Australie d'ici un mois ou deux ; le signe sur le front d'Elias lui est inconnu mais il propose de se renseigner auprès de ses collègues de l'université de Miskatonic.
Angus va voir Martin. Le plus vieux meurtre date de 23 novembre 1922, avec l'assassinat d'un Black. En avril 1923, c'est le tour de Patrick Russell, un journaliste. En juillet 1923, la victime est un jeune Blanc non identifié, suivi en novembre de la même année par un cheminot de Tom Evans. En février 1924, c'est John Espender, journaliste, qui assite au meutre d'un homme par un Noir africain très grand. Il y a encore un double meurtre le 12 juin 1924 et un meutre simple en octobre de la même année. Les victimes sont d'origine variée, ce ne sont donc pas directement elles qui sont à étudier, mais plutôt les liens entre ces meurtres et le culte dont le signe marque systématiquement le front des victimes.
On se dirige vers Lexington Avenue pour voir Jenna Kensington à Prospero Press. Elias avait un scoop sur l'expédition Carlyle. Il sort une lettre avec des notes d'Elias ; il pensait que l'expédition avait été exterminée par un culte mais que tous les membres n'étaient pas morts ; il les recherchait. Les notes parlent du voyage d'Elias - aucune vie animale ou végétale à l'endroit du massacre. Les autochtones pensent que ce lieu est maudit par le dieu du vent noir. Un dénommé Kenyata pense que la Langue Sanglante aurait pu exterminer l'expédition. Les autres tribus connaissaient la Langue Sanglante mais ne l'aimaient pas : rapts d'enfants, dieu étranger, etc. On a retrouvé des cadavres de Noirs (les porteurs), extrêmement bien conservés et mis en pièces systématiquement, mais pas par une bête sauvage.
Sinon, ses notes présentent une écriture agitée et nerveuse, des pages vierges, des incohérences. Elles sont difficiles à déchiffrer. Adolf tente de psychanalyser ces notes et en déduit qu'Elias a fini par craquer.
En fin d'après-midi, l'assistant d'Arthur examine la coiffe, mais bloque. Il va voir d'autres universitaires pour leur demander des informations sur le culte du Vent Noir. Ils ne sont pas plus avancés que lui et lui propose de contacter l'université Miskatonic. Angus téléphone à la soeur de Carlyle mais il tombe sur une secrétaire peu avenante. Il lui laisse ses coordonnées.
Le 18 février, c'est Emmerson qui est retrouvé mort. Son meurtre ayant été interrompu, selon Poole, il est difficile de dire si c'est l'oeuvre du culte de la Langue Sanglante. Mais c'est ce qu'il semblerait. Entre-temps, l'assistante d'Irving a découvert que la marque laissée sur le front des victimes est bel et bien celle du culte de la Langue Sanglante.
Un contact au Caire pourrait renseigner le groupe sur le culte. Adolf contacte également les assistants de son ancien collègue, Huston, pour tenter de récupérer ses anciennes lettres et affaires. Arthur apporte [[doc:photoyacht|la photo du bateau]] aux spécialistes de l'uni. Elle a été prise à Shanghai, le nom du navire est "la dame en noir". Il ne fait pas partie des 15 derniers bateaux arrivés chez Enesson et n'est pas passé à New York. Irvin et Arthur ont l'impression d'être épiés, Georges se retrouve suivi dans une ruelle par un type louche style détective prové qu'il terrorise avec un flingue. Angus se rend aux archives pour voir les journaux parus les lendemains des meurtres et tente de recouper les noms avec l'expédition Carlyle, mais sans succès. Adolf obtient l'adresse d'Erika Carlyle.
Le 19 février 1925, [[doc:18janvier|Sarah Morgan]] est dans la presse. Adolf va voir les fichiers de Huston, ceux sur [[pnj:erica|Erika]] et [[pnj:roger|Roger Carlyle]]. [[pnj:erica|Erika]] avait quelques consultations anodines et des préoccupations au sujet de son frère, qui l'a quasiment déshéritée ; elle a une forte personnalité. Roger consultait depuis 1918 mais les informations à son sujet sont de moins en moins nombreuses au fil du temps. Il fait des rêves avec des thèmes égyptiens et semble en proie à une sorte de délire mégalomaniaque. [Huston[ Parle également d'une femme qui risquerait de le détrôner... Dernière entrée : Roger menace de "le" dénoncer "s'il n'en est pas".
Pendant ce temps, deux "paysans" attendent Angus à son bureau : ils veulent retrouver l'assassin de Sarah Morgan. C'était sans doute une prostituée.
On se dirige vers la résidence Carlye. Adolf tente de rentrer en faisant jouer ses contacts avec Huston. Les détectives qui nous suivaient étaient envoyés par Erika. Elle s'est rendue au Caire où Auguste Lonett et Horace Starett lui ont fait comprendre que leur frère était mort. Ce sont les médecins de Nairobi qui ont fait l'autopsie des deux hommes.
Erika est sous protection car un acheteur qui a perdu la raison a tenté de rentrer dans sa résidence il y a quelques semaines. Selon elle, l'expédition de son frère était une lubie ; il était tombé amoureux d'une [[pnj:mweru|Noire]] qui lui aurait mis cette histoire de culte dans la tête. Elle l'aurait accompagné dans l'expédition avec [[pnj:hypatia|Hypatia]], [[pnj:aubrey|Penhew]] et Huston. Carlyle était un gestionnaire négligeant. M'weru (la Noire) en a profité pour financer l'expédition qui a coûté très cher mais ne s'est pas autrement immiscée dans les affaires de la famille. Elle ne connaît ni Russell ni Evans. [[pnj:corey|Joe Corey]] est son garde du corps.